Catherine Morin-Desailly, sénatrice, Présidente de la commission culture, éducation et communication, a tenu à réagir en sa qualité de Présidente de cette commission au mouvement des enseignants correcteurs du baccalauréat qui ont décidé de ne pas rendre les copies tant qu'ils n'auraient pas eu satisfaction auprès de Jean-Michel Blanquer.
"Il n'y a aucune raison que des élèves soient pris en otage d'une grève entreprise par des adultes. Il y a un temps et un lieu pour tout. J'ai été correctrice du baccalauréat. On est dans un temps très particulier qui est celui des examens. Il existe d'autres instances pour revendiquer. Heureusement, une majorité d'enseignants sait faire la part des choses entre le moment où on peut manifester et les obligations inhérentes à la fonction. Je les salue."